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Lettres et courriels de lecteurs (extraits)

 

« Ce livre est passionnant d'une richesse littéraire peu commune et écrit dans un style remarquablement maîtrisé. Qui aime la langue française sera comblé, sans ennui, car il y a dans les pages de ce livre des narrations d'anthologie. »

« … Je lis votre livre petit à petit, impossible de l'ingurgiter comme un vulgaire roman. Il me faut du temps pour le déguster tellement sa densité est prenante!»

« … Je suis admirative, Admirative de votre érudition, Admirative de votre style qui mobilise l’attention, Admirative de la force de votre capacité d’analyse des situations, Admirative de votre tenace et profonde recherche des causes et effets dans les sentiments et les comportements." Une collègue, administration E. N..
 

« Un puissant ouvrage de réflexion à partir d’un roman à connotation autobiographique. Le récit plonge le lecteur dans certaines réalités des années 60 vues par un ancien séminariste et ancien prêtre.................................................................................................................................................
- D’abord le drame algérien avec la trop fréquente collusion entre l’Eglise et l’Armée,

- Puis, plus intime, la « problématique » de la vocation sacerdotale et de la formation religieuse alors dispensée –sinon subie- dans les séminaires,
Une approche critique, anticonformiste des « Institutions », justifiée et pondérée à la fois car tout n’est pas rejeté en bloc …
C’est que l’auteur est un humaniste, un homme de culture qui sait réfléchir et écrire,
littéraire, philosophe, historien, poète. Artiste aussi, musicien, peintre, sculpteur … Toutes les facettes de ses multiples talents se découvrent de page en page et l’on se laisse emporter par un style puissamment réaliste et poétique aussi, y compris, quand, savamment orchestré tout au long de son ouvrage il célèbre son attachement viscéral à sa terre natale du Lauragais.

L’auteur, en effet, part de son enfance provinciale et de son éducation première. Il retrace son itinéraire intellectuel et spirituel singulier et, magistralement, il réussit à éveiller (ou réveiller) la conscience de son lecteur ainsi amené à découvrir par lui-même la valeur universelle du témoignage.  
Jean-Claude Gélis, enseignant, lettres modernes. 

« … Il est utopique de lire ce livre dans le métro… Style dense, érudition. Une page transpire le poète, un passage sent la peinture à l'huile, une phrase sort des fumées de la réflexion et puis au milieu d'un paragraphe arrive sournoise l'opinion! … Je me délecte, je cours à la surprise... décidemment je suis étonné. » 

 En attendant, ''Orgue et Clairon'' doit faire son chemin. Il faut le claironner sur tous les toits pour promouvoir sa diffusion, de plus ce livre ne se termine pas sur un point d'orgue: on peut le laisser en bonne place dans la bibliothèque et l'ouvrir, à l'occasion, à n'importe quelle page, on y trouvera toujours une description ravissante ou une pensée à méditer ou à débattre. »      

 « … te féliciter pour la qualité de l’écriture, la richesse du vocabulaire, l’élégance des tournures de phrases. Les diplômés de l’enseignement supérieur de nos jours sont loin de ce niveau si j’en juge par certains mémoires qu’il m’a été donné de lire …"    Enseignant, Espagnol.

 

« Je viens de terminer Orgue et Clairon roman atypique et original. Le tableau de la couverture montre la voie. Cet ouvrage est bâti sur les fondements d'une langue française des plus riches. Les mots choisis et les figures de styles cimentent les pierres d'une écriture solide dans son architecture. Cette prouesse engendre des descriptions de paysages, de monuments, de lieux fermés ou d'objets d'une précision étonnante.

Cette fresque peinte ne peut faire oublier les pensées qui s'évaporent des murs et des paysages pour se loger sous les voutes des monuments ou du ciel.

Les interrogations, les craintes, les doutes s'insinuent entre les rapports humains toujours difficiles, les lois cruelles militaires ou religieuses qui méprisent l'individu, d'où la recherche, par le héros, de l'absolu. Le tout est couronné par un voyage dans le quotidien qui passe de la scène sous l'escalier avec le juteux pendant la guerre d'Algérie, l'oubli du fusil dans la montagne, le lapin perdu au marché de Castelnaudary, Martine devenue une arlésienne et le train qui vient d'Aix comme une conclusion qui ne résout rien. On attend la suite, elle est obligatoire. Jean-François Dusart (médecin)  .

Dessin électronique. RC.

Un fou du livre.

« … te féliciter pour la qualité de l’écriture, la richesse du vocabulaire, l’élégance des tournures de phrases. Les diplômés de l’enseignement supérieur de nos jours sont loin de ce niveau si j’en juge par certains mémoires qu’il m’a été donné de lire … »

 

« Très bien écrit, vocabulaire choisi, équilibre des dialogues. Dialogues au cordeau, réalistes, adaptés aux personnages et au moment où ils sont prononcés... »


 

« Les femmes ni les jeunes (qui n’ont pas fait le service militaire) ne pourront pas comprendre tous les ordres militaires, mais ce sont exactement ce qu’on entendait à l’armée. Très bien rendu. Les ordres font réagir par réflexe : c’est du Pavlov appliqué aux hommes asservis et conditionnés. » -

« Un œil critique, mine de rien, mais critique de bon sens ; hors de tout endoctrinement, une vision logique et juste, hors des influences. »

« … Nous l'avons, mon mari et moi, tour à tour lu cet été … impossible de séparer le héros du roman de l'auteur que j'ai connu et apprécié dans ma vie professionnelle,  je crains de vous avoir beaucoup substitué au séminariste René : même culture classique inépuisable, même vivacité, même caractère bouillant et même génie de la provocation voulue ou instinctive ! Et puis, il y a la compagne, la pipe et la faculté de s'abstraire derrière les ronds de fumée de toutes les paroles inutiles proférées dans les groupes d'enseignants …
A travers un cheminement singulier, et qui vous est propre, resurgit toute une époque, celle de la guerre d'Algérie. Je l'ai vécue dans mon enfance (j'avais deux beaux-frères incorporés). Je me souviens de ces lettres que mes soeurs n'osaient pas ouvrir.
L'évocation des lycées, de la vie en internat, des études classiques, nous rappellent à mon mari comme à moi, bien des choses. Elle sonne vraie.
Je suis également de celles qui pensent qu'on est, à son insu, façonné par son terroir et par les siens.
Tous ces thèmes d'une grande richesse émotionnelle, ainsi que l'alternance des séquences narratives, introspectives, descriptives, la poésie de certaines images, rendent votre autofiction très variée et très attachante. 
deux collègues. gestionnaire, l'un, agrégé lettres classiques, l'autre.

« Un regard neuf sur le rituel catholique, des réflexions lucides et directes, des réactions d’un homme qui croit, mais garde son propre caractère, son indépendance et ses propres folies. »

 « J’ai dit à mon ami que le contenu n'avait pas toujours l'odeur de l'encens, ni la blancheur du lys, mais la robustesse de la vérité. »

« … Prêtres, anciens prêtres ou anciens séminaristes du même secteur, nous avons fait « d’orgue et clairon », non pas une lecture commune mais une réflexion en groupe après lecture…
… Nous avons tous noté la justesse et la subtilité de vos remarques sur l’éducation que nous avons subie depuis l’enfance sans même la discerner, pas même quelque fois après coup… Mais aussi, tous, nous avons reconnu la délicatesse des touches, l’élégance de l’expression, la sagesse des propos, la subtilité des images, bref la culture, l’autre volet, positif cette fois, de cette éducation, les humanités comme l’on disait alors. Vous en avez beaucoup gardé, il nous en reste à tous … »



 

Vieillard au chien. huile sur bois. R.C.

80x55  -1991-

Prêt, en position, lisez !

huile sur carton. R.C.  52x67  -1990-

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